THEORIE A LA CON... THEORIEALACON !!!

venez decouvrir sur ce site, les theories les plus folles rencontrées sur le net,

les plus absurdes et les plus droles... ya pt'être aussi un peu de vrai, qui sait...

y'en aura pour tout le monde


jeudi 17 décembre 2009

La tartine beurrée...toujours du mauvais côté !!!



L'expérience montre de manière irréfutable que lorsqu'une tartine beurrée tombe d'une certaine hauteur, c'est toujours le côté beurré qui touche le sol. Le seul changement du point de vue énergétique est une diminution de l'énergie potentielle, puisque l'état de la tartine reste inchangé. Que la tartine tombe avec le côté beurré vers le bas ou vers le haut, la quantité d'énergie potentielle perdue est la même. Mais si elle tombe le côté beurré vers le bas, l'entropie augmente de manière notable. En effet en touchant le sol, le beurre n'est plus confiné à la tartine mais se répand sur le sol, ce qui augmente l'entropie du système. Pour respecter les lois de la thermodynamique, on peut donc conclure qu'une tartine beurrée essaiera toujours de tomber avec le côté beurré vers le bas.

Ce rappel sur les principes qui régissent la fameuse "loi de la Tartine Beurrée" permet de mieux comprendre les recherches menées dans le monde entier par les physiciens dans le domaine de l'antigravité. En effet, une autre loi de la physique stipule que si vous lancez un chat par la fenêtre, et ce quelle que soit la hauteur, il retombera toujours sur ses pattes.
La question qui surgit alors est : Que se passe-t-il si on attache une tartine beurrée sur le dos d'un chat (avec le côte beurré apparent, bien evidemment) avant de le lancer par la fenêtre ?
 Est-ce que le chat retombe sur ses pattes ? Est-ce que le côté beurré touche le sol ?


Si vous êtes par trop fainéant pour mener à bien l'expérience vous-même, quelques déductions logiques devraient vous permettre d'arriver au résultat. Les lois de la Tartine Beurrée stipulent de manière definitive que le beurre doit toucher le sol alors que les principes de l'aérodynamique féline réfutent strictement la possibilité pour le chat d'atterrir sur le dos. Si l'assemblage du chat et de la tartine devait atterrir, la nature n'aurait aucun moyen de résoudre ce paradoxe. C'est pour cela qu'il NE TOMBE PAS.

C'est de cette manière que le secret de l'antigravité a été découvert.


Un "Chat Tartiné", s'il est lancé d'une fenêtre, s'élèvera à une hauteur appropriée qui sera le point d'équilibre des forces de retournement felin et d'attraction beurrière. Ce point d'équilibre peut être soigneusement modulé en enlevant un peu de beurre pour le faire monter ou en enlevant quelques-unes des pattes du chat pour le faire descendre. Cette technique est d'ailleurs déjà largement utilisée par les espèces qui ont entrepris des explorations interstellaires, et le bruit entendu à proximité des OVNI n'est autre que le ronronnement de milliers de chats. Mais ce système n'est pas sans danger, car pour peu que le chat réussisse à manger la tartine, la catastrophe est inévitable !!!
Les chats retombent sur leurs pattes mais ne survivent que le temps de recevoir sur la tête les gigantesques vaisseaux spatiaux portés au rouge par le frottement atmosphérique et pleins d'extra-terrestres en colère. Pour trouver une solution à ce délicat problème, plusieurs équipes de chercheurs travaillent d'arrache-pied pour synthétiser un beurre qui ne plaise pas aux chats.
Le beurre de cacahuètes semble très prometteur, mais les expérimentations sont toujours en cours.

vendredi 4 décembre 2009

Paul McCartney est mort depuis 1966 !!!

Pour ceux qui l'ignorent, Paul McCartney est mort. Trop tard pour pleurer car le funeste événement remonte à l'année 1966, lorsque le célèbre musicien s'est tué au volant de son Aston Martin.


Les BEATLES, alors au plus haut de leur popularité, décident de cacher la nouvelle, engagent un sosie et font en sorte que personne ne se rende compte de rien. Cependant, afin d'avertir les plus perspicaces, ils vont essaimer leur discographie de messages confirmant la terrible nouvelle. Nous vous proposons l'étude de ces principaux "signes".

Les affaires sérieuses commencent véritablement avec la sortie du 45 tours double face A « Penny Lane » / « Strawberry fields for ever ». A la fin de cette dernière, John Lennon d'une voix gutturale annonce clairement : « I buried Paul » (j'ai enterré Paul).


L'autre évènement qui ne trompe pas c'est la décision prise d'arrêter les tournées car vraisemblablement le sosie n'est ni encore un bon chanteur, ni un bon musicien. Sans oublier que c'est à cette époque, que McCartney se sépare de son éternelle fiancée, l'actrice Jane Asher. On comprendra aisément qu'elle n'ait pas voulu continuer à vivre avec le remplaçant de Paulo. Il se chuchote même qu'elle aurait reçu une forte somme pour prix de son silence.

Passons donc à cette fameuse pochette de « Sergent Pepper »

 
 
Sortie deux ans plus tôt (soit un an avant la supposée mort de McCartney). Les musiciens y portent la moustache…Ben voyons ! Pour mieux déguiser le sosie de Paul ! D’ailleurs, la disposition des personnages au-dessus d’un parterre fleuri peut évoquer un enterrement…Celui de qui ? C’est indiqué par l’inscription « Lonely hearts » sur la grosse caisse. Si vous placez cette pochette face à un miroir, ces mots deviennent alors : « 1 ONE 1 X HE () DIE ». A traduire par : un un un (ça fait trois, pour trois beatles) et « IL » meurt. Qui ? Le quatrième désigné par le symbole () qui forme une flèche pointant…Paulo. Et en plus, si vous zieutez l'autre face de la pochette, vous verrez les quatre membres côte à côté - un seul pose de dos : le mort !
 
Et enfin, qu’a-t-elle de si troublant, cette pochette d’ « Abbey Road » ?
 

 Beaucoup de choses : McCartney est le seul à marcher pieds nus – et on sait que les morts sont enterrés panards sans chaussette en Inde. Pays où c’est le blanc qui symbolise la mort – et c’est justement cette couleur qu’a revêtue John Lennon. Tandis que Ringo Starr est habillé de noir – le deuil occidental. Autrement dit, McCartney est précédé par deux croque-morts. Ce n’est pas tout : la voiture blanche, garée à gauche, arbore une plaque d’immatriculation qui en dit long : « LMW 28 IF »…Ce que certains ont traduit par : « Living McCartney Would be 28 IF » (McCartney aurait eu 28 ans si…). Tiens, donc. Et enfin, le bassiste tient sa cigarette de la main droite…alors qu’il est gaucher ! C’est donc un vulgaire imposteur que nous avons sous les yeux !


Etonnant, non...

le demi tour de GOLDORAK ??? mais bien sure...


Afin de venir à bout des Golgoth (les méchants), Actarus, quitte le poste de commande de sa navette pour se placer dans celui du robot de combat Goldorak. Dans chaque épisode, on voit le défenseur de la Terre crier "Transfert" et commander le bouton démarrant la manoeuvre à partir du tableau de commande. Son siège s'enfonce dans le plancher, prend un tunnel et une première demi-rotation est effectuée. Actarus est alors dos à la sortie du tunnel. Le siège se déplace à vitesse constante pendant quelque temps et réalise une seconde demi-rotation. Le héros se retrouve face au pupitre de commande du super-robot Goldorak.
Mais pourquoi donc ces deux demi-rotations a priori complètement inutiles ?


Réponse technique :
Le fait que le siège d'Actarus fasse deux demi-tours successifs lors de sa descente dans la tête du robot est une simple mesure de sécurité. Pour combattre les forces de Véga le robot doit se détacher de sa navette et le couloir emprunté est le lien entre les deux vaisseaux accrochés. Or les deux parties de Goldorak sont en métal (à l'époque, les fibres de carbone n'étaient en développement que sur Altaïr). Ce matériau se dilatant sous l'effet de la grande vitesse de Goldorak en basse atmosphère, de ses fusées de propulsions, des "Fulguro-Poings", et de tout son bordel, les rails qui guident le siège d'Actarus ne peuvent donc pas être liés afin d'éviter tout décrochage du siège lors du "Transfert" d'Actarus. C'est donc dans ce couloir qu'a lieu la manoeuvre qui consiste pour le super-héros à descendre de son siège, le décrocher de la première partie du rail, à le déplacer pour le repositionner sur la seconde partie du rail, de remonter dedans et de le redémarre en donnant une poussée avec les pieds. Cette manoeuvre n'étant pas propre à magnifier la soi-disant haute technologie extraterrestre, les producteurs ont décidé de la masquer à l'écran par cette ruse débile.


Réponse esthétique :
La problématique est mauvaise : ce n'est pas Actarus qui fait deux demi-tours dans son siège, mais la navette qui fait deux demi-tours autour de Actarus. C'est la technique de combat préférée du robot super-puissant qui consiste à faire croire à l'adversaire qu'on refuse le combattre pour mieux lui foutre sur la gueule par surprise. Mais l'acteur qui tient le rôle Actarus ayant obtenu par contrat auprès des producteurs de la série d'apparaître à l'écran durant toute cette phase, cette super-manoeuvre n'est pas montré et du coup on ne voit la super-manoeuvre de combat que de l'intérieur.


Réponse économique :
Il est vrai que l'histoire du double demi-tour est profondément choquante... mais il faut se remettre dans le contexte économique de l'époque caractérisé par la crise du pétrole, la hausse du dollar et l'inflation mondiale. Dans un souci d'économie d'énergie (très précieuse lors des combats avec les forces de la Lune Noire), il va dans un premier temps, éteindre la lumière de sa soucoupe et fermer la porte (premier demi-tour) et ensuite, allumer la lumière à l'intérieur de Goldorak et fermer la porte (deuxième demi-tour).


Réponse pratique :
Ces deux demi-tours successifs obtenus grâce à un effet gyroscopique permettraient au siège de se stabiliser après cette descente et ainsi obtenir une vitesse de déplacement linéaire suffisante pour atteindre le pupitre de commande du robot sans fracasser son super-occupant contre.


Réponse design :
Il n'y a pas rétroviseurs sur Goldorak (l'esthétique du robot en aurait pâti gravement). Actarus est donc obligé de se retourner pour vérifier si un enculé de Golgoth n'essaie pas de le niquer par derrière.


Réponse Show-Biz :
L'acteur qui campe le rôle Actarus est, comme beaucoup de vedettes de la télévision, cocaïnomane. Comme avant chaque entrée en scène, il se tape un rail, il est contraint de se cacher ne pouvant se permettre de se repoudrer le nez devant un public composé principalement d'enfants. C'est donc entre les deux demi-tours qu'a lieu sa sniffette.

mardi 17 novembre 2009

C'est prouvé...le Père Noël n'existe pas

Il y a approximativement deux milliards d'enfants (moins de 18 ans) sur Terre. Cependant, comme le Père Noël ne visite pas les enfants Musulmans, Hindous, Juifs ou Bouddhistes, ceci réduit la charge de travail pour la nuit de Noël à 15% du total, soit 378 millions. En comptant une moyenne de 3.5 enfants par foyer, cela revient à 108 millions de maisons, en présumant que chacune comprend au moins un enfant sage.
Le Père Noël dispose d'environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la Terre, dans l'hypothèse qu'il voyage d'Est en Ouest, ce qui paraît d'ailleurs logique. Ceci revient à 967,7 visites par seconde. Cela signifie que pour chaque foyer Chrétien contenant au moins un enfant sage, le Père Noël dispose d'environ un millième de seconde pour parquer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes, distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster les quelques friandises laissées à son intention, regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et passer à la maison suivante.
En supposant que chacun de ces 108 millions d'arrêts sont distribués uniformément à la surface de la Terre (hypothèse que nous savons fausse, bien sûr, mais que nous accepterons en première approximation), nous devrons compter sur environ 1,4 kilomètres par trajet. Ceci signifie un voyage total de plus de 150 millions de kilomètres, sans compter les détours pour ravitailler ou faire pipi.
Le traîneau du Père Noël se déplace donc à 1170 kilomètres par seconde (3000 fois la vitesse du son). A titre de comparaison, le véhicule le plus rapide fabriqué par l'homme, la sonde spatiale Ulysse, se traîne à 49 kilomètres par seconde et un renne moyen peut courir au mieux de sa forme à 27 kilomètres à l'heure.
La charge utile du traîneau constitue également un élément intéressant. En supposant que chaque enfant ne reçoit rien de plus qu'une boîte de Légo moyenne (un kilo), le traîneau supporte plus de 500 mille tonnes, sans compter le poids du Père Noël lui-même.
Sur Terre, un renne conventionnel ne peut tirer plus de 150 kilos. Même en supposant que le fameux "renne volant" serait dix fois plus performant, le boulot du Père Noël ne pourrait jamais s'accomplir avec 8 ou 9 bestiaux; il lui en faudrait 360 000. Ce qui alourdit la charge utile , abstraction faite du poids du traîneau, de 54 000 tonnes supplémentaires. 600 000 tonnes voyageant à 1170 kilomètres par seconde créent une énorme résistance à l'air.
Celle-ci feraient chauffer les rennes, au même titre qu'un engin spatial rentrant dans l'atmosphère terrestre. Les deux rennes en tête de convoi absorberaient chacun une énergie calorifique de 14 300 millions de joules par seconde. En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement les deux rennes suivants. La meute entière de rennes serait complètement vaporisée en 4.26 millièmes de secondes, soit juste le temps pour le Père Noël d'atteindre la cinquième maison de sa tournée.
Pas de quoi s'en faire de toute façon, puisque le Père Noël, en passant de manière fulgurante de zéro à 1170 km/s en un millième de seconde, serait sujet à des accélérations allant jusqu'à 17 500 G's. Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble ridiculement mince) se retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de 2 157 507,5 kilos, écrabouillant instantanément ses os et ses organes et le réduisant à un petit tas de chair rose et tremblotante. C'est pourquoi, si le Père Noël a existé, il est mort maintenant.